Trèèèèèèèès jolie mini collection signée Erotokritos chez Monop! Regardez moi ces petites robettes! Toutes mignonnes et qui n'attendent plus que vous... Moi en tout cas j'ai déjà pêché... et en couleurs s'il vous plaît! infos et magasins participants sur le site monop... Quoique, j'ai trouvé à Bordeaux, qui n'est pourtant pas référencé sur le site. Bonne chasse les filles! ps: si votre amoureux est mignon sachez qu'il y a une ligne homme également!!!

Oulàlà ! Comme ça fait du bien un peu de légèreté ! Maïwenn, dès les 17 premières secondes, j’ai eu l’intuition que nous allions passer un bon moment. Tout est là : le casting, le montage, la pudeur, le rythme… Tu nous entraînes dans tes petites fantaisies sans nous plomber dans la nostalgie esthétisante d’un Christophe Honoré. Enfin des chansons qui ne nécessitent pas un rennie à la digestion ! C’est bien dosé, tu distilles humour et tendresse avec un regard vraiment enfantin. Continue à tourner en t’amusant, à nous raconter tes histoires, c’est délicieux comme un fourrage de pimm’s ou de BN ! Quant au coup de Joey Starr, je dis chapeau bas! Plus de gâteau d'anniversaire sans lui!

Jeudi soir 5 février, alors que Nicolas s’exprimait dans un direct maîtrisé pour nous parler de la crise, j’ai choisi de sortir écouter « Un d’chaque », qui s’exprimait dans un direct maîtrisé en nous parlant de la crise, mais pas que. Bien m’en a pris ! J’avais suivi une copine dont une autre copine chatouille le chanteur… Bref, sans aucun a priori ou affinités avec le groupe. Et j’ai bien fait de ne pas être trop cathodique : voilà 6 garçons qui ont du répondant ! Vite, allez les écouter sur leur site http://www.undchaque.com Je pense qu’ils ont davantage convaincu la petite salle de Jemmapes que l’autre en face des 15 millions de frenchies.

L'excellent site aldentelacrise.com vous invite à célébrer ou dézinguer en ligne la crise de manière purement verbale.
Alors que j'allais laisser un excellent "la crise a craché dans mon yop", je me suis également lâchée sur un petit "la crise passe, domenech reste"... Merci à l'agence Al Dente ainsi qu'à toutes les autres propositions créatives des fuckers de sinistrose.

Plusieurs années après avoir perdu mon poste au sein d’une prestigieuse agence de publicité parisienne, je viens de faire un rapprochement saisissant. J’ai sans doute été victime d’une bernarthibauïsation. Je m’explique. Peu après avoir été engagée, je me suis fendue d’une énième nouvelle coupe de cheveux chez T&G, coiffeur tendance pré-tektonik. L’artistic director qui a sévi sur mon crâne a choisi alors de me libérer de toute féminité en me transformant en « Prince Adam », dixit mes ex-collègues. À partir de là, dégringolade sociale ! Aujourd’hui, j’ai enfin compris ! Si mes amis m’ont pris pour Musclor à la ville, la direction, elle, a sans doute dû confondre avec Bernard Thibaut, le syndicaliste au brushing. Après cette violente prise de conscience, j’ai envie à mon tour de vous interpeller… Y’en a pas un petit peu marre du syndicaliste pas looké ? Est-ce encore par soutien à la classe ouvrière active dans les années 70 que les représentants syndicaux choisissent de sentir le vieux ? En France, pays de la modasse, ne serions-nous pas en droit d’attendre de sémillants Ariel Wizman pourfendeurs des trois 8 ?

Coluche disait que ce serait con en plus d’être pauvre de faire la gueule, alors ami des classes moyennes et des travailleurs, sourit et enfile une chemise que diable !

Espace de libre-échange et de propositions… La question métaphysique qui travaille en méningite vous est ici posée avec son qcm.
Aujourd’hui : où vont les cils qui tombent dans nos yeux ?
_ Parcourent-ils le reste de notre corps pour finir aux WC ?
_ Se recyclent-ils en larmes ou en autre liquide corporel ?
_ Tiennent-ils chaud au cerveau ?
_ Poussent-ils irrémédiablement nos yeux en avant, les rendant globuleux ?

Ah ! Il y a déjà plusieurs mois que ce billet me travaillait… Dès que j’ai vu les tendances des collections hiver à dire vrai et surtout leurs applications, imitations et inspirations en boutiques. Mesdemoiselles, vous êtes nombreuses à arborer depuis la rentrée des petits gilets en fourrure de pan-pan, ami de bambi. On n’ouvrira pas ici de discussion entre les pros et les anti-fourrures. La question que je laisserai ici ouverte est « avez-vous lu l’étiquette de votre chaleureux ami ? » On en a déjà parlé dans des reportages tv, mag… Mais de vous à moi, ne trouvez-vous pas louche de constater que certains de ces petits fourrés affichent des prix dérisoires pour de la fourrure ? De nombreuses contrefaçons asiatiques, élaborées à partir d’animaux domestiques, notamment des cuirs circulaient déjà facilement en Europe. Alors méfiance quand vous pouvez lire sur l’étiquette la présence d’animaux mythiques, comme le « chinese wolf »… Le super lucky cat porte normalement bonheur, mais vous, que portez-vous ?

Un ami dont la profession aurait pu être burgermestre (mélange du bourgmestre belge et du burger quizz) nous a tout récemment emmené dans un bastion du pain-viandard. Parisiens de près ou de loin, testez donc le PDG. Ce micro resto du 8ème côtoie fièrement des lounge bars à pépèttes et vous propose une carte de burgers subtils. Le petit pain rond est tout à fait « delicatessen » ! Et le coleslaw royal.
Le petit plus : la bande son vraiment ok, bat, in ce soir-là…
Tout ça se passe rue Ponthieu ! Mais attention, le boss du burger est aussi installé rive gauche !

Là où certains ne voient dans la souplesse que des actes de soumission, que des compromis, moi j’y vois une forme de rébellion. Un peu comme un Rémi Bricka, qui est quand même capable de jouer différents rythmes tout en étant synchro, qui pourrait deviner que lorsque j’acquiesce d’un signe de tête, la réalité est tout autre dans ma chaussure ? La souplesse vous permet de faire plusieurs choses à la fois, même contradictoires ! La souplesse me permet de faire des gestes obscènes dans mes derbies, mes baskets, mes ballerines, bref, peu importe la mode, il n’y a qu’en période de tongs que mon discours est moins politiquement correct. Que cela ne vous empêche pas pourtant de me regarder dans les yeux… Et ne vous imaginez pas que le jour où je m’achèterai des cuissardes, ce sera forcé ment parce que j’ai une bonne dose de f**k à faire passer. La souplesse, une erreur de la nature ? En tout cas pas une erreur de ma nature !